… Ou accessoirement neurosciences versus psychanalyse
Il s’agit bien sûr du Moi psychanalytique !
J’utilise souvent cette expression « c’est Moi le patron » avec les analysants afin qu’ils perçoivent à travers cette badinerie les premiers aspects que la perlaboration propose à travers la pratique de la PAR.
En écrivant ces lignes je sais que j’organise volontairement l’exercice par sa fin, sa réalisation, car la fin d’une démarche psy repose sur la mise en place d’une perlaboration exogène (P.E.F) finalisée telle que je l’ai précisé au fur et à mesure de mes travaux.
La perlaboration pour dire au plus simple est la mise en œuvre des désirs d’être avec la réalité. Cela signifie simplement qu’une fois que les symptômes commencent à être désactivés par les ACPA (abréactions conscientisées pleinement abouties) l’analysant est invité dès le début de son travail à perlaborer. Nous pouvons d’ailleurs considérer que venir au premier rendez-vous informatif est l’expression première de la perlaboration.
Celle de la P.A.R qui fonctionne par l’interaction des différents Process a l’avantage d’être précisée en trois étapes :
- La perlaboration autogène
- La perlaboration endogène
- La perlaboration exogène
Je renvoie le lecteur aux différents écrits sur ces trois états de la perlaboration dont ici ce n’est pas le sujet principal, mais ainsi nous comprenons que le but d’une démarche est bien de mettre en adéquation les désirs d’être avec la réalité, et de ne plus être soumis aux dictats de nos affects qui se sont développés au cours de notre histoire, afin de positionner au mieux le Moi Intime au centre de la procédure. J’ai augmenté et précisé les fonctionnalités du Moi freudien par le concept de Moi intime que l’on retrouve dans les articles précédents.
Pour reprendre le cours de notre développement, il est nécessaire de continuer à esquisser quelques concepts qui précisent les apports de la PAR, notamment définissant les fonctionnalités du psychisme.
Le psychisme est un vaste maillage atemporel.
Le psychisme est indubitablement ce vaste maillage atemporel dans lequel tout active tout, le conscient et l’inconscient, le présent et le passé. Ce psychisme tel que je le présente est très archaïque, il est existant dans ce que je nomme le butyrum initial, qui est la capacité à l’enregistrement de nos vécus ressentis par l’ensemble du système neurovégétatif primitif.
J’y reviendrai, mais il est important à ce stade de préciser qu’il est mutagène, plastogéne et donc éminemment réversible et réflexif par ses aspects profondément homéostatiques.
Revenons au système neurovégétatif qui n’avait pas réellement été précisé comme étant un des facteurs, un des éléments constituants de la psyché analytique, dans son approche cognitive, mais nous savons que sur le plan sensoriel, il traite via des récepteurs sensoriels autonomes, les informations en provenance de la sensibilité et de ces sensations déjà actives, car ressenties. Ainsi dès que ce système est en activité, et suffisamment fonctionnel le fœtus se trouve en capacité de ressentir
Je développerai cela plus loin, mais ces sentis, et sensations, font partie des premiers vécus et correspondent aux prémisses du fonctionnement du psychisme. D’ailleurs de nombreux parents sous les conseils de pédiatres ne font-ils pas écouter de la musique à leur futur enfant, cela dans un double but, celui de l’apaiser, et celui de lui donner l’envie de visiter à nouveau ces espaces musicaux.
Tout cela dans l’espoir que l’enfant gardera la trace de tout cela à la naissance. Ce qui signifie que l’on évoque deux choses importantes :
- Que l’on considère que ce fœtus est capable de ressentis et de sensations, voire d’émotions.
- Et de l’existence d’une mémoire, puisque l’on considère que cette imprégnation le suivra dans l’autre monde d’après.
Nous touchons déjà ici la notion de mémoire.
Mais observons comment se constitue ce butyrum.
Ces vécus perçus grâce au système neurovégétatif ont permis la perception de stimuli, de sentis, de sensations. Et bien cela, ce butyrum, c’est le psychisme primordial archaïque de chaque être, il est le premier état de la psyché, et il est éminemment inconscient.
L’inconscient apparaît ainsi dès la vie, et dès que le système de perception des sensations est fonctionnel. La mémoire qui lui est associée est déjà effective et opérationnelle.
Cet inconscient sur lequel je reviendrai est uniquement constitué par et dans les émotions, c’est ainsi qu’il va constituer une magnifique base de données par laquelle le psychisme augmenté progressivement du conscient va continuer à se construire.
L’inconscient va s’alimenter en permanence par ces ressources que sont la constance des vécus du quotidien et ainsi accroître les richesses de la base de données.
L’inconscient est structuré par et dans les émotions.
Le conscient est lui structuré par et dans le langage.
Mais je reviendrai à ces développements plus loin.
La psychanalyse en général et bien sûr la PAR ont le mérite de reposer sur des constats que nous livrent les multiples cliniques, et ainsi celles-ci se croisent et sont confrontées en permanence au matériau explicatif que nous pouvons préciser au fur et à mesure de ces pratiques cliniques.
Ainsi la psychanalyse s’est construite dans cette alternance d’observations cliniques à partir de cette notion d’inconscient qui ont permis la mise en place d’outils, et de métaphores permettant de raisonner le fonctionnement du psychisme.
Il faut considérer ceci comme des grilles de lecture, comme les topiques, et de métaphores comme les notions complexes, que l’ensemble des pratiques a pu amender. C’est ce que j’ai réalisé, en m’appuyant sur ce matériau que j’ai croisé à de multiples occasions cliniques pour en proposer une extension des concepts. Car ceux-ci m’ont toujours semblé assez peu développés et pas véritablement articulés entre eux. Ne définissant pas réellement la structure philosophique de la démarche, et encore moins le lieu et les moyens de l’activité, pour lesquels j’ai proposé des novations.
Les neurosciences s’essayent au même exercice depuis leur jeune existence, par d’autres moyens d’expérimentations, mais cette discipline va moins loin que la démarche en PAR qui permet grâce aux itérations constantes d’aller vider ces piles mnésiques dont nous pouvons constater l’existence leur impact et la vigueur de leur désintégration. Car les neurosciences tentent de décrire des mécanismes mais peinent à s’écarter des schèmes de la psychiatrie.
Pour compléter cette présentation du psychisme décrit en PAR, nous pouvons dire synthétiquement qu’il est :
- Une dynamique, une entité plastogéne mutagène constamment animée par la notion de réversibilité.
- Un lieu constitué de deux entités conscient et inconscient à croiser en permanence avec la notion et concept de la deuxième topique freudienne
- Au conscient appartient la mémoire consciente d’arrangement structurée hiérarchiquement et temporellement.
- A l’inconscient appartient la mémoire inconsciente structurée elle de façon atemporelle, à travers le concept de piles mnésiques que j’ai introduit qui sont des agrégats des grandes tendances émotionnelles.
- Le refoulement est une des données qui permet à l’espèce humaine de se transcender.
- Ce psychisme est le fruit de notre patrimoine génétique croisé de toutes nos expériences. Et cela se nomme les déterminismes psychologiques, ceci étant en opposition totale avec les notions de fatalismes.
Le psychisme se façonne en permanence à la recherche de son équilibre construit par toutes les expériences de toutes natures, la plupart de ces expériences sont stockées dans la mémoire inconsciente, cette grande base de données atemporelle, qui sont non hiérarchisées, et non accessibles volontairement. Il faut savoir que très peu de ces informations accèdent au conscient, et donc ni à la pensée ni à la mémoire consciente.
Nous savons, cela introduit par les travaux de la psychanalyse freudienne et ferenczienne, et maintenant confirmé par les expérimentations de toutes natures qu’effectuent les neurosciences, que la plupart de nos actes, de nos décisions, de nos relations avec les autres résultent de mécanismes inconscients. Mais cela n’a jamais fait aucun doute pour la pratique en PAR, qui grâce à la dimension qu’elle donne avec les itérations, applique de façon systématique et active, que nous sommes bien le fruit, le produit de tous nos vécus.
Savoir ce qui s’est passé ne nous rend pas indemne de ce qui s’est passé, et encore moins de ce qui s’est modélisé lors de ces événements. Car ces engrammes sont mémorisés dans la mémoire inconsciente et même les identifier intellectuellement n’a aucun effet ni intérêt. Seules les abréactions de type ACPA y parviennent et ce sont les seules raisons qui ont fait dire à Freud : « J’ai inventé la psychanalyse lorsque l’ai quitté l’hypnose ». Je reprendrai dans ce blog quelques-uns de mes développements.
Plus précisément dans le livre qu’il publie avec Breuer en 1895, Freud présente quatre cas d’hystérie traités par lui à l’aide du « procédé breuerien d’exploration » il décrit une hypnose qui vise à retrouver des émotions bloquées, provoquées par des événements oubliés, et à les mettre en mots pour opérer leur « décharge ». Il dit là à nouveau :
« L’histoire de la psychanalyse proprement dite ne commence qu’avec l’innovation technique qu’est le renoncement à l’hypnose »
Observons comment l’inconscient nous gouverne.
Notre inconscient abrite une banque de données, glanées tout au long de la vie.
Cette base de données génère ses effets en permanence, les données sont de deux natures, comme précisé dans les piles mnésiques : les charges d’affect, et les scripts comportementaux.
Le psychisme perçoit par les ressentis bien avant que cela ne soit pensé.
Ce système neuro végétatif initial s’est amélioré, adapté et permet ainsi de comprendre combien nos 5 sens reçoivent des informations dont la plupart ne seront vraisemblablement pas conscientisées, C’est une loi de la nature à laquelle nul ne peut échapper.
Nous percevons en premier lieu de nombreux stimuli sans en avoir conscience.
Je l’ai développé dans mon ouvrage « Une autre psychanalyse la PAR » comment notamment à travers le concept de piles mnésiques, des poches d’agrément ou de désagrément se construisent en nous, et la plupart du temps, sans que notre pensée ne les perçoivent. Or ces poches sont constamment actives en permanence. C’est la madeleine de Proust qui peut l’illustrer le mieux par la métaphore qu’elle soit ou une odeur, une saveur, un son, tout active tout ce qui est focalisé situé dans la poche.
J’ai défini ces poches sous deux formes :
- Les Vacums poches de désagréments non-forcément perçus qui pourront le plus souvent devenir des névroses
- Les PMDP poches d’agréments non-forcément conscientisés, qui créeront des rêves, des utopies, qui sont les éléments essentiels à la qualité projective de l’enfant.
Ainsi quand une poche se crée, par exemple un enfant vivant un sentiment de plénitude auquel de nombreux éléments sont associés, va dès qu’un de ces éléments sera présent dans son exotype se sentir propulsé dans le même état que celui qui l’avait connu auparavant.
Nous savons que régulièrement les zones cérébrales liées à des stimulus visuel, auditifs, sensoriels sont activées, et nous savons également grâce à la démarche introspective en PAR, qui remonte à l’origine des archivages de ces faits, que pratiquement l’ensemble de ces informations est récupérable grâce à la réactivation des substrats émotionnels.
C’est là ou une forme intellectualisée de la psychanalyse passe totalement à côté de ces réalités en produisant des cures qui ne sont que des lieux de spéculations cérébrales sans aucun intérêt.
Psychanalyse et neurosciences.
Au niveau sémantique il est intéressant de constater que pour traiter du même sujet les deux disciplines vont utiliser des langages différents. La psychanalyse parlera de psychisme et les neurosciences du cerveau. Les neurosciences qui en réalité sont un conglomérat de plusieurs disciplines, ont la volonté absolue de prouver par l’expérimentation quantifiable et observable des résultats qui apporteraient des preuves tangibles.
Nous pouvons synthétiser ainsi les disciplines que regroupent les neurosciences en ces grandes familles :
- Les sciences biologiques des neurosciences
- Les sciences cognitives
- Les sciences médicales
- L’ingénierie et la technologie des neurosciences
- Les disciplines récentes
Quand les neurosciences parlent de la cécité d’inattention, qu’elles ont mis en avant à travers de nombreuses expériences, la psychanalyse gère cela depuis qu’elle existe, car nous savons que les perceptions inconscientes sont présentes, éminemment opérationnelles et rarement repérées in situ par le patient.
Notre inconscient abrite une immense banque de données, glanées tout au long de notre vie. Ainsi lors d’une expérience ou d’un apprentissage, des milliers de neurones et de synapses sont mobilisés, et des circuits se connectent ensemble
L’inconscient est un grand facilitateur de notre quotidien.
Observons les effets des automatismes de l’inconscient
Différents exemples permettent d’en percevoir le fonctionnement :
– Nous rentrons dans une pièce et face à une assemblée qui nous est inconnue, très instinctivement nous trouvons des affinités avec des personnes anonymes, et dont le style et l’apparence ne nous attirent pas forcément, mais qui nous semblent automatiquement sympathiques. Car notre inconscient aura fait en amont le travail, et sans que nous ayons besoin d’en faire l’exercice l’associera dans sa base de données avec les expériences mémorisées plus ou moins agréables issues de nos vécus et ces personnes.
– De même lorsque l’on répète à un enfant comment se comporter devant telle ou telle situation, les comportements ainsi mémorisés vont agir comme des réflexes Pavlovien. Et cela sans qu’en aucune façon nous ayons besoin d’en faire l’effort de pensée, ni de recherche, vont ainsi se définir des conduites automatiques qui seront enregistrées dans le Surmoi qui nous le voyons bien ainsi est conscient et inconscient
– Les sentiments amoureux sont emplis de ces expériences d’avant et des traces d’agrément indicibles qu’elles ont laissées en agrément et désagrément les affinités dans l’intimité y trouvent leur fondement.
– Il est d’ailleurs très intéressant de se livrer à cet exercice de perlaboration autogène, en tentant de relier in situ, l’observation de nos comportements avec des expériences d’avant qui généreraient leurs conduites sans que nous les ayons vraiment voulues.
Pour continuer notre parallèle entre neurosciences et psychanalyse PAR, observons la façon dont celles-ci expliquent la façon dont un phénomène peut être décrit
Les neurosciences diront que ce phénomène imprimera comme une trace dans notre réseau neuronal, ainsi le cerveau va s’en souvenir, et expliqueront que c’est ce qui fait que ces circuits vont être réactivés ensuite plus facilement. Puis cette masse d’informations qui sont enregistrées à notre insu, permet à notre cerveau de réaliser des statistiques sur l’environnement, d’anticiper l’effet d’une action, de créer des automatismes de pensée
L’inconscient est prédictif.
Cela signifie simplement que notre inconscient effectue un travail en amont à travers l’ensemble des associations automatiques entre les stocks de sa base de données et les perceptions que les récepteurs neurotransmetteurs perçoivent de nos 5 sens.
D’ailleurs intéressons-nous au rôle des rêves.
Dans son ouvrage « L’interprétation des rêves » rédigé en 1899, Freud expose que le rêve est la voie royale vers l’inconscient. Il est intéressant de voir quelles fonctions lui attribuent les neurosciences. En réalité, malgré les nombreuses expériences basées sur électroencéphalogrammes, analyses sanguines, et simulation de différentes zones du cortex, très peu d’évidences sur leur fonctionnalité n’a été apportée plus que la psychanalyse ne les a précédemment précisées.
Il est important de repositionner cette définition que je propose : « le psychisme est un vaste maillage atemporel dans lequel tout active tout conscient et inconscient, présent et passé ». Ainsi lors de cette période nocturne dans le sommeil dans et en dehors de rêves des réorganisations constantes s’opèrent.
Celles-ci sont le fruit de la journée de l’ensemble des stimuli réactions qui se sont combinés. Ce psychisme est mutagène et à la recherche constante de son équilibre, ainsi durant la nuit nous savons qu’il y a trois phases durant le sommeil : léger, profond et paradoxal, c’est dans cette dernière phase de sommeil paradoxal, la plus intense que le tracé de l’électroencéphalogramme montre une activité pratiquement équivalente à celle d’un sujet éveillé.
C’est dans cette partie du sommeil paradoxal que les rêves sont les plus actifs. Ainsi ces études ont montré que tout le monde rêve toutes les nuits, mais que très peu de personnes s’en souviennent. Ce n’est pas l’objet de cet article que de traiter de l’intérêt et de l’exploitation des rêves, mais nous pouvons dire succinctement que durant le rêve, nos souvenirs sont réorganisés, avec des éléments stressants ou appréciables, qui ainsi sont mixés avec d’autres, plus neutres. Cette capacité de recombiner est l’activité essentielle du sommeil et des rêves qui ne représentent qu’une partie chaque nuit. Cela nous permet de générer de nouvelles idées ou de trouver des solutions à des problèmes. D’ailleurs cette capacité de recombinaison favorise aussi la créativité.
Aussi pour nous l’intérêt est de savoir que les rêves sont avant tout autre chose des excellents indicateurs. Ils nous indiquent ainsi l’état de fonctionnement de notre psychisme et les territoires activés. Ainsi s’intéresser aux rêves permet de percevoir ce que cette activité onirique nous propose.
Il faut aussi partir d’un autre constat que je développe souvent qui est l’aspect mécaniste du psychisme, et dans ce cadre intégrer le fait que si nous nous souvenons d’un rêve, c’est que celui-ci nous est destiné.
C’est en quelque sorte un cadeau que l’inconscient livre à notre conscient. Ainsi lorsque l’interprétation du rêve délivre une information, la plupart du temps cette information qui a été bien sûr cryptée par le travail du rêve est en réalité bien destinée au conscient. Nous sommes bien dans ce vaste maillage atemporel.
Je précise ici à nouveau que seul le rêveur peut interpréter ses rêves, que le mot interpréter signifie précisément que c’est le seul rêveur qui peut donner sens, mais le psy peut grandement aider sans influencer en apportant quelques pistes.
Mais alors les rêves prémonitoires existent-ils ?
Durant 35 années de pratique je n’ai jamais rencontré de rêves réellement prémonitoires dans le sens où ceux-ci annonceraient, ou délivreraient une information dont le rêveur ne peut pas avoir conscience. Souvent apparaissent des rêves étranges qui semblent être prémonitoires, mais qui en réalité sont souvent des mises en garde par anticipation, à travers un scénario onirique qui est d’ailleurs souvent catastrophique présentant des situations inquiétantes.
Ce sont en réalité des avertissements que notre psychisme a reconstruits à partir de l’ensemble des perceptions et des expériences passées dont nous avons disserté précédemment mais dont le conscient n’a pas la perception.
Ainsi des indices perçus dans différents contextes vont prendre une expression et une forme particulière lors d’un rêve qui pourra interpeller le rêveur. Ce peut être en ce sens comme une forme de simulation qui nous préparerait aux situations dangereuses ou anxiogènes de la vie réelle, en les produisant en amont dans le rêve. Une façon de tester les scénarios catastrophes pour être mieux armé. Une étude a été menée sur des jeunes qui préparaient le concours de médecine. Ceux qui ont fait le plus de rêves négatifs sur l’examen l’ont, au final, mieux réussi. Le rêve permettrait aussi d’atténuer les émotions négatives associées à certains souvenirs.
Lien sur mon dernier livre : Une nouvelle psychanalyse la PAR :